Préserver une tombe est un acte à part entière exclu des assurances obsèques. En tant que souscripteur, il est porté à votre connaissance que seule l’organisation des funérailles revient à l’assureur. Or, l’entretien de la tombe est un point à ne pas négliger. Il peut générer une charge financière assez conséquente. Voici quelques notions clés à savoir alors.
L’entretien des sépultures : les essentiels
En principe, l’entretien d’une tombe est une obligation instaurée par la loi pour les héritiers du défunt. En effet, la sépulture peut subir des dommages comme les écroulements, les failles, les affaissements ou les actes de vandalisme. Le but est de préserver l’harmonie des lieux et de favoriser le bon état du cimetière.
En cas d’omission constatée pour l’entretien du caniveau, un procès-verbal sera adressé aux familles et au public. Assurance au Carré en parle. Par ailleurs, une reprise de la concession pourra être prononcée par le Conseil municipal si dans un délai de 3 ans personne n’est intervenu.
Prise en charge de l’entretien d’une tombe
L’entretien d’une tombe n’est pas compris en général dans le contrat. Mais une solution est envisageable. Il s’agit d’intégrer un budget dédié pour cet effet dans l’assurance obsèques. Attention ! Cela ne se fait pas naturellement. Vous devez négocier avec votre assureur avant votre adhésion dans le contrat.
Pour ce faire, il est primordial d’estimer le coût de la prestation requis. Ce dernier va dépendre du nombre d’interventions dans l’année et des prestations choisies. Par exemple, si vous souhaitez deux visites par mois, vous devrez consacrer 1 500 euros l’année.
